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Alimentation

La nutrition des champions en herbe

 
Pour un enfant qui pratique deux ou trois heures de sport par semaine, les règles diététiques sont simples. Avant toute activité sportive, l'alimentation doit rester équilibrée, c'est-à-dire pas trop grasse et digeste. Il faut veiller à ce qu'il boive de l'eau plutôt que des boissons sucrées et éviter qu'il ne se gave de barres au chocolat et autres confiseries.


Pas d'erreur dans l'assiette !
Même si le régime de votre mini-Zidane n'est pas très différent des règles alimentaires habituelles, mieux vaut éviter quelques petites erreurs :

Evitez de lui proposer une alimentation trop sucrée et trop grasse ;
Habituez-le à des horaires de repas réguliers ;
Limitez les boissons gazeuses sucrées ;
Attention au grignotage intempestif ;
N'attendez pas qu'il réclame de l'eau pour lui donner à boire.
Mettez-le à l'eau !


L'enfant présente une plus grande sensibilité à la déshydratation que l'adulte, il est donc plus sujet aux coups de chaleur. Il doit impérativement boire. De l'eau, de préférence. Il doit surtout boire avant d'avoir soif, de façon régulière, par petites quantités pour ne pas encombrer son estomac. Dans tous les sports de plein air, surtout s'il fait chaud, l'enfant doit pouvoir emporter une gourde ou un bidon d'eau.

Avant l'entraînement ou le match
Quel que soit l'âge du jeune athlète, il ne faut jamais prendre un repas important juste avant le début de l'activité. Préservez un intervalle de deux à trois heures afin de permettre une digestion complète. En effet, la digestion mobilise une grande quantité de sang au niveau de l'estomac. Les muscles, privés de ce sang, ne peuvent donc pas, au même moment, fournir un effort sur la pelouse.

S'il a un match le matin, invitez votre enfant à prendre son petit déjeuner assez tôt. Ce repas devra être copieux, comprenant oeuf, jambon ou fromage en plus des aliments habituels (lait ou laitage, pain et/ou céréales, beurre, confiture), sans oublier un verre de jus de fruits ou tout simplement d'eau.

Si la rencontre a lieu l'après-midi, avancez l'heure du déjeuner, vers 11 heures. Ce repas comprendra les aliments habituellement consommés à son âge sans oublier un plat de féculents (pommes de terre, riz ou pâtes) pour permettre à l'organisme de se constituer une réserve. Le repas ne doit pas être trop gras afin de ne pas retarder la digestion.

Pour une activité prévue en fin d'après midi, vers 18 ou 19 heures, il est bon de prévoir un encas copieux. Ce goûter peut se rapprocher d'un petit déjeuner : lait ou laitage, pain ou céréales, auxquels on peut ajouter du fromage, du jambon ainsi que des fruits.

Pendant le match ou l'entraînement
Si l'activité dure plus de deux heures, donnez à l'enfant des petits biscuits, du chocolat, une banane ou même un petit sandwich au fromage ou au jambon afin qu'il puisse manger durant les pauses. On peut également leur glisser dans les poches des barres de céréales pratiques à transporter.

Il doit évidemment emporter de quoi boire : de l'eau pure en priorité ou des boissons sucrées diluées. Evitez les boissons gazeuses sucrées dont le taux de sucre trop élevé peut entraîner une hypoglycémie réactionnelle et un vrai coup de pompe.

Après le sport
La récupération passe par une bonne réhydratation sous forme d'eau ou de boissons légèrement sucrées. Si le match ou l'entraînement ont été très longs ou intenses, l'enfant est certainement un peu fatigué, et quelquefois écouré. Il n'est donc pas question de lui faire un repas pantagruélique. Privilégiez les aliments faciles à digérer. Oubliez les fritures et les plats en sauce. Pas plus qu'il ne faut laisser un enfant à jeun après une activité sportive, ne pas le forcer non plus à manger.
L’alimentation du sportif
Tout comme pour les personnes les plus sédentaires, l'alimentation du sportif doit avant tout être équilibrée. Néanmoins pour répondre aux besoins de l'organisme soumis à rude épreuve, pour éviter carences et coup de pompe, quelques conseils s'imposent.
La consommation énergétique du muscle est particulièrement importante. Il devra donc majorer sa consommation en énergie ainsi qu’en nutriments (vitamines essentiellement). Le sportif transpire et perd donc ainsi beaucoup de sels minéraux. Le fonctionnement de l’organisme d’un sportif étant plus intense, il "s’use" davantage et à donc besoin d’être "nourri" régulièrement.
Au-delà d'un apport énergétique important, le sportif devra également veiller à consommer suffisamment de vitamines et de sels minéraux.
Une alimentation particulière
A la base, les produits consommés seront les mêmes que pour les personnes non sportives mais la planification des repas doit permettre un apport énergétique régulier sur l'ensemble de la journée sans occasionner de gêne :
Des produits laitiers à chaque repas afin d’assurer un bon apport en protéines et surtout en calcium (ils participent aussi à la contraction musculaire) ;
- Des viandes ou équivalents en quantités importantes pour favoriser le renouvellement et la croissance musculaire, ainsi que l’apport en fer ;
- Des fruits et des légumes, cuits et crus, à chaque repas et en récupération d’activité physique afin de majorer l’apport vitaminique et minéral. Riches en eau, ils vont aussi favoriser la réhydratation. De plus, le sucre des fruits (le fructose), a des propriétés particulières qui favorisent le stockage de sucre (glycogène) dans le foie (ce qui est très favorable à la performance sportive) ;
- Des féculents en quantités très importantes car ils apportent le carburant préférentiel de l’effort : les glucides. Ces glucides pourront aussi être consommés par l’intermédiaire de boissons durant l’effort ;
- Des corps gras, vecteurs de vitamines et d’acides gras essentiels fondamentaux au bon fonctionnement de l’organisme.
Ainsi, l’apport de ces différents aliments sera réparti sur l’ensemble de la journée en fonction de paramètres variables : les horaires de pratique sportive, le type de sport pratiqué, le moment de la saison (la consommation énergétique d’un sportif est différente en période de repos ou en période de compétition), le climat…

La présence de petites collations sera nécessaire sur l’ensemble de la journée afin d’assurer un apport en nutriments et micro-nutriments régulier sur le nycthémère sans surcharger les territoires digestifs. Ces collations vont aussi permettre de refaire le plein d’énergie avant et après l’effort afin de favoriser une bonne performance et une bonne récupération.
S'hydrater régulièrement.
L’autre point fondamental de la ration du sportif sera l’apport hydrique qui devra être largement majoré pour quatre raisons essentielles :
Permettre le maintien d’une bonne hydratation de l’organisme tout en sachant que les pertes sudorales du sportif peuvent être très importantes. Ces pertes en eau sont accompagnées de pertes minérales importantes elles aussi.
On veillera donc à boire régulièrement tout au long de la journée y compris pendant l’effort (perdre 1 % de son poids de corps en eau durant l’effort entraîne une perte d’efficacité musculaire de 10 %). Afin donc d’assurer une bonne couverture hydrique et minérale on consommera des eaux plus ou moins riches en minéraux ;
La consommation d’eau va permettre l’élimination des "déchets" par les reins. La production de déchets étant bien évidemment accrue en période d’activité physique intense ;
Une eau fortement minéralisée va majorer l’apport minéral, ce qui n’est pas un mal chez un sportif qui en perd beaucoup… L’eau, du mo

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